Pour les premiers cours :
le dojo prête les armes, le temps de vous équiper
On s'habitue à son arme on pratique mieux si on a la sienne.
Le hakama n'est pas exigé ce n'est pas un grade ou une distinction, c'est simplement la tenue
normale du pratiquant dans un art martial traditionnel japonais. Lorsqu'il n'y a pas de hakama il
est en présence d'un sport martial avec des compétitions… donc tout à fait autre chose.
Comme c'est un investissement financier le pratiquant s'habille normalement (en mettant un hakama)
lorsqu'il a décidé de poursuivre la pratique de l'aïkido et que pour lui c'est un art de vivre
aussi nécessaire que de se laver.
Sauf dans l'intimité personne ne se promène en slip c'est à dire sans hakama!
Explications de base sur :
aïkidogi bokken jo tanto obi zooris
Aïkido disposition
des armes et zooris
Aïkido Kanji idéogramme dojo le lieu où l'on apprend la voie du maitre
Aïkidogi
dogi, keikogi mais pas kimono...
En savoir plus ....
Par égard pour les autres il doit être propre et pas repoussant. Les lavages les usent
plus que la pratique..
"Kimono d'Aïkido" n'est pas le bon terme
Gi vêtement, Aïkidogi vêtement d'aïkido, keiko exercice : vêtement d'exercice...
do la voie dogi vêtement pour l’étude de la voie...
La plupart des Aïkidogi actuels sont conçus à partir de Dogi de Judo,
Rétrécissement après lavage à froid : 3% vertical / 2% horizontal pour du seido parfois
plus, à chaud 60°, encore plus, donc prenez plus grand (10cm au dessus de votre
taille...)
Zooris (tongue)
Les pratiquants veillent à ce que le tatami soit toujours impeccable et propre. Par
contre pour aller du vestiaire au tatami le sol peut être insalubre. Il n'est pas
souhaitable d'amener la pollution sur le tatami. On met donc des zooris, celles-ci sont
disposées talons contre le tatami.
La tongue (langue) aurait été inventée par les Chinois pour favoriser la libre
circulation de l’énergie du foie en faisant passer la lanière sur le point 2F (entre le
gros orteil et le deuxième orteil).
Un point qui agit sur tous le muscles du corps.
En tout cas, l’objectif reste le même ! Comme en aïkido faciliter la circulation du
"ki".
Choisir la forme et la longueur de l'arme de 1m à 1m15 selon l'usage
Plus ou moins courbé, pour l’aïkiken on utilise une arme presque droite
Prendre un Bokken adapté à votre taille et votre musculature pour éviter les
tendinites
Bokken Iwama : 103 cm Bokken Kashima Shinto Ryu : 106 cm
Les Suburito 115 cm de ~850 g à 1.6 kg
sont significativement plus épais et plus lourds que les Bokken classiques.
Les Furibo quant à eux sont encore plus lourds que les Suburito et sont destinés
exclusivement au travail de Tanren et de respiration.
Furibo Super Lourd Octogonal Chêne Rouge- Benigashi : ~ 3 kg, ~5 kg et ~10 kg
Ils sont fait de divers bois dur
les plus courants sont en chène rouge.
S'il est trop léger vous manquerez de précision, épais et relativement lourd il sera
plus facile à manier avec précision le mouvement du forgeron Tanren répétition du geste
permettra une bonne adaptation.
Le fondateur O sensei M Ueshiba aurait utilisé un modèle Yagyu Ryu ou un
modèle Jiki Shinkage Ryu Naginata Yo.
Les débutants commencent souvent avec un modèle épais et lourd pour ensuite se diriger
vers des bocages plus léger et plus fin afin d'améliorer la précision.
Tsuba la garde
Tsuba inutile pour la pratique de l'aïkido
Diverses pratiques martiales japonaise jōdō, kenjutsu, kendō
Utilise le bokken est une arme d'entraînement en bois reproduisant la forme d'un katana
Iaïto (iaitō) rensei (錬成 entraînement), katana non aiguisé
Parfois utiliser, il permet la pratique avec une vraie lame. Poids 1kg, saya 300g
L’apprentissage du katana (sabre japonais de 1m)
passe par l’utilisation de plusieurs types d’armes d’entraînement, en particulier le
bokken (sabre en bois), le iaïto (lame non aiguisée), et le katana (lame tranchante
comme un rasoir).
Il s’agit de maîtriser l’intégralité de la pratique martiale du sabre
: l’art de dégainer, de guider la lame dans l’espace, pratiquer la coupe, tchiburi(faire
couler le sang) puis la rengainer dans le saya fourreau.
O senseï n’enseignait pas de katas à deux, que ce soit à Iwama ou au Hombu dojo ?
Il n’enseignait pas même Ikkyo ! Parfois quand l’envie lui prenait il donnait une correction,
expliquait hitoemi, des choses comme cela.
Mais il ne suivait pas de pédagogie au sens scolaire
du terme avec des étapes établies. Nous on se demandait pourquoi il n’expliquait pas. (rires)
On se disait que sans explications c’était normal que l’on n’y arrive pas.